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Lancé pour la première fois en 1987 par Richard Launius, Horreur à Arkham fait partie des classiques du genre “jeu d’horreur coopératif” et s’inscrit dans l’univers de l’appel de Cthulhu créé par H.P. Lovecraft. Ce jeu de plateau a connu de nombreuses rééditions et expansions au fil des ans, chacune ajoutant de nouvelles mécaniques et de nouveaux défis à surmonter. En tant qu’investigateurs, les joueurs et joueuses devront non seulement affronter des monstres et des entités surnaturelles, mais aussi naviguer à travers une intrigue complexe où chaque choix peut affecter le cours de l’histoire.
Horreur à Arkham est une immersion dans l’univers sombre, angoissant et mystérieux, inspiré de l’œuvre de H.P. Lovecraft. Ce jeu d’investigation coopératif vous plonge dans une aventure où vous incarnez des enquêteurs qui tentent de stopper un ancien mal prêt à détruire le monde. Voici ce que vous vivrez au fil de la partie :
Le jeu se déroule dans la ville d’Arkham, un lieu hanté par des créatures effrayantes et des entités venues d’autres dimensions. Dès le début, le suspense est palpable et la tension monte. Chaque décision, chaque mouvement peut vous rapprocher ou vous éloigner de l’objectif : empêcher l’Éveil du Grand Ancien, une entité toute-puissante qui menace de détruire l’humanité. Le jeu est pensé pour l’immersion : chaque aspect, du matériel aux mécaniques, participe à créer une atmosphère de tension.
Le jeu se joue en coopération, et chaque joueur.euse incarne un investigateur unique, possédant des compétences particulières. Ensemble, vous explorer la ville, résolvez des énigmes, combattez des monstres. Et surtout, fermez des portails dimensionnels avant qu’ils ne libèrent des créatures terrifiantes. La coopération est essentielle, car chaque choix affecte la dynamique du groupe et le succès de la mission.
Le jeu comporte également une gestion du temps, car les différentes étapes de l’histoire sont marquées par des événements qui évoluent selon le temps restant avant l’Éveil du Grand Ancien. Une partie de Horreur à Arkham peut durer plusieurs heures. Chaque moment est rempli de suspense, d’incertitude, et parfois d’horreur pure, avec des révélations qui bouleversent le cours de l’aventure.
L’un des aspects les plus fascinants de Horreur à Arkham est la manière dont il combine des éléments de stratégie et de chance. Bien que chaque joueur puisse utiliser des compétences spécifiques pour résoudre des mystères ou vaincre des monstres, le facteur chance est omniprésent. Les cartes tirées ou les jets de dés peuvent altérer le cours du jeu. Une mauvaise décision ou un échec lors d’une investigation peut mener à des conséquences dramatiques. Il vous faudra gérer à la fois vos ressources, vos actions, et… votre chance pour espérer réussir !
Au fur et à mesure que l’histoire progresse, les enquêteur.ice.s se retrouvent confrontés à des choix moraux et des découvertes qui modifient leur perception de la situation. Chaque personnage peut évoluer, gagner en force ou en compétences, ou au contraire être affecté par des événements négatifs, comme la folie ou l’épuisement. Ces éléments viennent enrichir l’expérience de jeu et créent tensions et suspens.
Horreur à Arkham est un véritable test de coopération et de résilience. L’ambiance angoissante, les mystères à résoudre, les monstres à combattre et l’urgence de l’histoire en font un jeu excitant… Mais il peut aussi mener à des échecs cuisants. Ce jeu met les joueur.euse.s face à un défi constant, où l’échec est souvent une partie du processus et où la réussite dépend de l’esprit d’équipe.
Amateur de jeux d’horreur ou un fan de récits de Lovecraft ? Horreur à Arkham vous plonge dans un univers riche et terrifiant. Préparez-vous à vivre une aventure palpitante où les ténèbres menacent à chaque coin de rue et où chaque investigation vous rapproche un peu plus du terrible Grand Ancien. Oserez-vous affronter l’horreur et sauver Arkham avant qu’il ne soit trop tard ?
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100,00 €Les Demeures de l’Épouvante – Seconde Édition est un jeu coopératif d’horreur et d’enquête où vous incarnez des investigateurs plongés dans un univers sombre et surnaturel, explorant des lieux hantés et résolvant des mystères terrifiants, avec l’aide d’une application numérique immersive qui intensifie l’expérience.
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Jean-Philippe Garcia Ballester –
Autant le dire tout de suite, on a ici affaire à un jeu très long aux règles plutôt touffues. Il a aussi un certain nombre de défauts, en raison de son âge (il faut dire qu’en dix ans, le monde du jeu de société a beaucoup évolué !).
Bien que les règles soient plutôt complexes, Horreur à Arkham est un jeu où les décisions à prendre ne sont pas très difficiles, sans être inexistantes, et où la chance joue un rôle assez important pour la victoire. Ce que le jeu met en avant, plutôt qu’une stratégie profonde qui ferait mal à la tête, c’est une atmosphère, une histoire, qui se dévoile au fur et à mesure de la partie (dans le jargon, on appelle ça de l’ « ameritrash »).
L’univers dans lequel le jeu nous propose de nous immerger est celui d’H.P. Lovecraft, écrivain du début du XXe siècle, désormais considéré comme un des auteurs d’horreur les plus influents de son siècle. Il s’agit d’un univers onirique, rempli de monstres terrifiants, de cultes interdits, de Grands Anciens épouvantables, pour qui l’homme n’est pas un ennemi mais tout au plus un misérable insecte, et où un simple aperçu de l’horreur de la réalité entraîne inévitablement la folie.
Du point de vue de la coopération, il faudra une équipe soudée, car il sera nécessaire à la fois de s’entraider (donner ou s’échanger des cartes, activer des pouvoirs qui aideront d’autres joueurs), et se répartir les tâches de manière efficace (certains personnages seront plus enclins à combattre les monstres, d’autres à fermer les portails, etc, mais cela peut changer en cours de partie en fonction des objets et autres compétences acquises, nécessitant de ré-évaluer en permanence qui est le plus apte à faire quoi). L’invidualité a assez peu sa place car il faudra synchroniser les efforts (le joueur qui veut aller dans un autre monde aura probablement besoin qu’un autre joueur capable de combattre les monstres s’occupe de ceux bloquant le chemin menant au portail). Sans rentrer dans les détails des mécanismes, certains d’entre eux font d’une phase du jeu un point de concertation obligé sur les actions que feront tous les joueurs pendant leur tour à venir (par opposition à l’établissement de la stratégie au début du tour de chaque joueur comme on peut le trouver dans d’autres jeux).
Bien qu’Horreur à Arkham soit pourtant un classique, il faut cependant noter que pour ceux qui débutent dans le genre, il est plutôt conseillé de commencer par les Contrées de l’Horreur, du même éditeur, qui partage avec Horreur à Arkham un certain nombre de similarités mais qui a l’avantage, étant beaucoup plus récent, d’avoir des règles plus fluides et un certains nombres de simplifications rendant le jeu plus accessible. Les deux jeux ne sont pourtant pas strictement identiques en terme de sensations et des joueurs confirmés pourront préférer l’un ou l’autre. Quelques petit changements de règles assez simple permettront à certains joueurs d’apprécier un peu mieux ses qualités (on peut en trouver sur Internet ou contacter enVies enJeux pour des conseils).
Prenez le si vous aimez :
* les nouvelles d’H.P. Lovecraft
* vivre des aventures étranges et fantastiques
* lancer des dés
Évitez le si vous n’aimez pas :
* perdre à cause de la malchance
* devoir parfois jouer de manière sous-optimale pour améliorer l’ambiance
* lire un livre de règles, et qu’aucun de vos amis n’aiment ça (un joueur maîtrisant les règles peut grandement simplifier et fluidifier la partie pour les autres)
Nicolas –
Horreur à Harkam est un classique du jeu coopératif pour adultes. Et comme souvent, si les bons jeux se suffisent à eux-mêmes, il est possible pour les fans de les renouveler et / et de les compléter grâce à leurs extensions. Dans le cas d’Horreur à Arkham, sachez qu’il existe :
– Horreur à Arkham : L’Horreur de Dunwich
– Horreur à Arkham : La malédiction du Pharaon Noir
– Horreur à Arkham : Le Roi en Jaune
– Horreur à Arkham : L’Horreur de Kingsport
– Horreur à Arkham : La Chèvre Noire des Bois
– Horreur à Arkham : L’Horreur d’Innsmouth
– Horreur à Arkham : Le Rôdeur devant le Seuil
– Horreur à Arkham : L’Horreur de Miskatonic