Horreur à Arkham
60.00 €
Jeu adulte, à partir de 12 ans
La ville d’Arkham est en danger ! Un Grand Ancien, terrible créature venant d’une autre dimension, au-delà du temps et de l’espace, est sur le point de se réveiller. Des gardiens du culte ouvrent des portails menant à d’autres mondes, faisant apparaître des monstres terrifiants partout dans la ville.
Nous sommes des investigateurs, tentant de mettre un terme à la menace. Au cours de cette aventure épique où nous devrons combattre les monstres, fermer les portails, nous rencontrerons de nombreux personnages et lieux mystérieux.
Un jeu complexe, très immersif, qui nécessitera une stratégie efficace ainsi qu’une bonne dose de chance pour triompher !
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Jeux associés
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Les Demeures de l’Épouvante – Seconde Édition
Jeux de société, Coopérer avec rôles, Explorer, PlanifierJeu adulte, à partir de 14 ans
Les Demeures de l’Épouvante est un jeu de plateau coopératif d’horreur et d’enquête pour un à cinq joueurs. Les joueurs incarnent des investigateurs qui s’aventurent dans les salles sombres des demeures hantées d’Arkham et autres endroits sinistres pour y découvrir d’étranges secrets, élucider des énigmes sournoises et affronter des dangers surnaturels. Les Demeures de l’Épouvante inclut aussi un kit de conversion qui permettra aux fans de la première édition d’utiliser leurs investigateurs, monstres et tuiles avec cette nouvelle version.14 ans +, adultes89.00 €
Informations complémentaires
Poids | 1.95 kg |
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Ages conseillés | 12 – 13 ans, 14 ans +, adultes |
Nombre de joueurs | 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 |
Durée (environ en minutes) | 100 + |
Mécanismes de coopération | Coopérer avec rôles, Explorer, Plannifier |
Type de jeu | Cartes, Plateau |
Thème | Univers fantastiques |
Auteur | Kevin Wilson, Kurt Miller |
Illustrateur | Anders Finér, Brian Schomburg, Henning Ludvigsen, Kurt Miller, Rafał Hrynkiewicz, Scott Nicely |
Editeur | Edge Entertainment |
Année | 2005, 2006 |
Lieu de fabrication | Chine |
Autant le dire tout de suite, on a ici affaire à un jeu très long aux règles plutôt touffues. Il a aussi un certain nombre de défauts, en raison de son âge (il faut dire qu’en dix ans, le monde du jeu de société a beaucoup évolué !).
Bien que les règles soient plutôt complexes, Horreur à Arkham est un jeu où les décisions à prendre ne sont pas très difficiles, sans être inexistantes, et où la chance joue un rôle assez important pour la victoire. Ce que le jeu met en avant, plutôt qu’une stratégie profonde qui ferait mal à la tête, c’est une atmosphère, une histoire, qui se dévoile au fur et à mesure de la partie (dans le jargon, on appelle ça de l’ « ameritrash »).
L’univers dans lequel le jeu nous propose de nous immerger est celui d’H.P. Lovecraft, écrivain du début du XXe siècle, désormais considéré comme un des auteurs d’horreur les plus influents de son siècle. Il s’agit d’un univers onirique, rempli de monstres terrifiants, de cultes interdits, de Grands Anciens épouvantables, pour qui l’homme n’est pas un ennemi mais tout au plus un misérable insecte, et où un simple aperçu de l’horreur de la réalité entraîne inévitablement la folie.
Du point de vue de la coopération, il faudra une équipe soudée, car il sera nécessaire à la fois de s’entraider (donner ou s’échanger des cartes, activer des pouvoirs qui aideront d’autres joueurs), et se répartir les tâches de manière efficace (certains personnages seront plus enclins à combattre les monstres, d’autres à fermer les portails, etc, mais cela peut changer en cours de partie en fonction des objets et autres compétences acquises, nécessitant de ré-évaluer en permanence qui est le plus apte à faire quoi). L’invidualité a assez peu sa place car il faudra synchroniser les efforts (le joueur qui veut aller dans un autre monde aura probablement besoin qu’un autre joueur capable de combattre les monstres s’occupe de ceux bloquant le chemin menant au portail). Sans rentrer dans les détails des mécanismes, certains d’entre eux font d’une phase du jeu un point de concertation obligé sur les actions que feront tous les joueurs pendant leur tour à venir (par opposition à l’établissement de la stratégie au début du tour de chaque joueur comme on peut le trouver dans d’autres jeux).
Bien qu’Horreur à Arkham soit pourtant un classique, il faut cependant noter que pour ceux qui débutent dans le genre, il est plutôt conseillé de commencer par les Contrées de l’Horreur, du même éditeur, qui partage avec Horreur à Arkham un certain nombre de similarités mais qui a l’avantage, étant beaucoup plus récent, d’avoir des règles plus fluides et un certains nombres de simplifications rendant le jeu plus accessible. Les deux jeux ne sont pourtant pas strictement identiques en terme de sensations et des joueurs confirmés pourront préférer l’un ou l’autre. Quelques petit changements de règles assez simple permettront à certains joueurs d’apprécier un peu mieux ses qualités (on peut en trouver sur Internet ou contacter enVies enJeux pour des conseils).
Prenez le si vous aimez :
* les nouvelles d’H.P. Lovecraft
* vivre des aventures étranges et fantastiques
* lancer des dés
Évitez le si vous n’aimez pas :
* perdre à cause de la malchance
* devoir parfois jouer de manière sous-optimale pour améliorer l’ambiance
* lire un livre de règles, et qu’aucun de vos amis n’aiment ça (un joueur maîtrisant les règles peut grandement simplifier et fluidifier la partie pour les autres)
Horreur à Harkam est un classique du jeu coopératif pour adultes. Et comme souvent, si les bons jeux se suffisent à eux-mêmes, il est possible pour les fans de les renouveler et / et de les compléter grâce à leurs extensions. Dans le cas d’Horreur à Arkham, sachez qu’il existe :
– Horreur à Arkham : L’Horreur de Dunwich
– Horreur à Arkham : La malédiction du Pharaon Noir
– Horreur à Arkham : Le Roi en Jaune
– Horreur à Arkham : L’Horreur de Kingsport
– Horreur à Arkham : La Chèvre Noire des Bois
– Horreur à Arkham : L’Horreur d’Innsmouth
– Horreur à Arkham : Le Rôdeur devant le Seuil
– Horreur à Arkham : L’Horreur de Miskatonic