La terre d’Andor est en danger ! De nombreux monstres marchent vers le château. C’est à nous que le roi Brandur a demandé de protéger le château et de découvrir ce qui se trame. Nous parcourons le monde d’Andor, combattons les monstres qui menacent d’entrer au château. Pour cela notre équipement sera un soutien. Les marchands, les trouvailles, les rencontres, nous aiderons dans notre quête.
Exploration, combat, décision de groupe et course contre la montre… Surmonterons-nous tous les défis ? Le jeu possède un système innovant pour apprendre les règles, simples, au fur et à mesure du jeu. Pour gagner, il nous faudra une stratégie fine et précise. Optimisons nos actions et/ou utilisons toutes les possibilités qui s’offrent à nous au moment opportun.
Le jeu est divisé en cinq légendes successives. Chaque légende raconte une partie de l’histoire, et possède ses propres événements et objectifs. Ce jeu nous happe, nous immerge et nous rapelle à lui. Technique tout autant que familial, Andor s’ouvre à un large public et a déjà remporté plusieurs prix. Pourtant, il s’agit du premier jeu créé par Michael Menzel.
Mais qui est ce créateur et comment lui vint ce coup de génie ?
Né en 1975, Michael Menzel a suivi une formation d’assistant de conception technique. Il a ensuite travaillé plusieurs années dans le développement de jeux informatiques avant de se tourner vers l’illustration de jeux de société. Il en a réalisé plus de 30 au cours des dernières années, pour une dizaine d’éditeurs. Son premier travail d’illustration dans le domaine des jeux de société a été Manga Manga, il par ailleurs l’illustrateur du fameux jeu Les Colons de Catane.
En 2012, il se lance dans la création complète d’un jeu :
Andor et opère par là un coup de maitre ! Un jeu à l’esthétique très soignée, coopératif, passionnant, foisonnant qui reste simple d’accès. Andor permet ainsi de regrouper autour d’une même table des enfants de 6 ans et des gameurs rodés. Le jeu est donné sur la boite à partir de 10 ans, mais il s’anime très bien sous la forme de conte animé que les enfants même jeunes adorent ! De plus les premiers niveaux leurs sont tout à fait accessibles.
Un jeu primé à Cannes (As d’Or 2013), en Allemagne (Kennerspiel des Jahres), nominé aux Spielgrafik – Graf Ludo 2013, Andor a de très beaux jour devant lui et de nombreuses extensions ont depuis vu le jour, complétant Andor vers une saga.
Des scénarios supplémentaires sont téléchargeables
ici Michael Menzel ne s’en est pas tenu là le jeu coopératif continuera d’être enrichi de sa superbe créativité et de ses talents immersifs !
Andor, pour tous types de publics :
- Vous souhaitez un bon jeu en famille où chacun donne le meilleur de soi-même et vous avez deux heures devant vous ? Ce jeu dépassera vos attentes !
- Fans de jeux vidéos lassés du jeu en solitaire ? Découvrez Andor, passez les niveaux, pour continuer à voir l’aventure se jouer sous vos coups !
- Animateurs convaincus des apports de la coopération ? Soyez passionnant en présentant ce gros jeu captivant qui rappelle bien les jeux vidéos, culture à laquelle Michael Menzel s’est largement frottée.
Si vous aimez plannifier…
Vous aimerez les gros jeux et avez 2 à 3h devant vous, testez les très bons :
Robinson,
This War Of Mine,
Les Demeures de l’épouvante,
Les Contrées de l’Horreur
Si vous avez plutôt 1h à 1h30 optez pour :
WarHammer Quest,
Big Book of Madness, TIME stories, Ghost Busters , Andor,
Andor les dernier espoir,
Pandemic,
Pandemic Chtulu,
Pandemic Montée des Eaux,
Pandemic Legacy,
Pandemic La Chute de Rome
Ou préférez des jeux encore plus courts tels que
Les Taxis de la Marne, ou plus enfantins et familiaux tels que
Le Désert Interdit,
Le Ciel Interdit et l
‘ïle interdite,
Thunderbirds, Opération Archéo,
Rising 5.
Verified owner Chloé di Cintio –
Ce jeu nous happe, nous immerge et nous rappelle à lui. Technique tout autant que familial, Andor s’ouvre à un large public et a déjà remporté plusieurs prix. Pourtant, il s’agit du premier jeu créé par Michael Menzel.
Mais qui est ce créateur et comment lui vint ce coup de génie ?
Né en 1975, Michael Menzel a suivi une formation d’assistant de conception technique, puis a travaillé plusieurs années dans le développement de jeux informatiques. Il s’est ensuite essentiellement tourné vers l’illustration de jeux de société et en a réalisé plus de 30 au cours des dernières années, pour une dizaine d’éditeurs. Son premier travail d’illustration dans le domaine des jeux de société a été Manga Manga, il par ailleurs l’illustrateur du fameux jeu Les colons de Catane.
En 2012, il se lance dans la création complète d’un jeu : Andor et opère par là un coup de maître ! Un jeu à l’esthétique très soignée, coopératif, passionnant, foisonnant qui reste simple d’accès et permet de regrouper autour d’une même table des enfants de 6 ans et des “gameurs” rodés. Le jeu est donné sur la boite à partir de 10 ans, mais il s’anime très bien sous la forme de conte animé, les enfants même jeunes adorent et les premiers niveaux leurs sont tout à fait accessibles.
Vous souhaitez un bon jeu en famille où chacun donne le meilleur de soi-même et vous avez deux heures devant vous ? Ce jeu dépassera vos attentes !
Fans de jeux vidéos lassés du jeu en solitaire ? Découvrez Andor, passez les niveaux, pour continuer à voir l’aventure se jouer sous vos coups !
Animateurs convaincus des apports de la coopération ? Soyez passionnant en présentant se gros jeu captivant qui rappelle bien les jeux vidéos, culture à laquelle Michael Menzel s’est largement frottée.
Un jeu primé à Cannes (As d’Or 2013), en Allemagne (Kennerspiel des Jahres), nominé aux Spielgrafik – Graf Ludo 2013, Andor a de très beaux jour devant lui et les extensions n’ont pas manqué de venir compléter ce jeu.
Des scénarios supplémentaires sont téléchargeables gratuitement.
Jean-Philippe Garcia Ballester –
Un véritable chef d’œuvre. Il faut cependant faire attention : derrière l’apparence d’un jeu d’aventure se cache un vrai jeu d’optimisation qui fait mal aux neurones.
Il y a une histoire forte, un univers medieval fantasy très présent, mais gagner impliquera de très bien calculer vos actions car le temps vous est compté. La moindre erreur sera probablement fatale et le jeu est assez dirigiste en ce sens que les scénarios ont un aspect puzzle, et qu’il y aura donc une stratégie plus ou moins imposée qu’il faudra suivre, donnant aux scénarios une rejouabilité relative (certains scénarios utilisent plus d’éléments aléatoires que d’autres et ont donc une meilleure rejouabilité, il y a quand même de quoi faire).
Andor est un jeu clivant : ceux qui aiment se creuser la tête et résoudre des puzzles adoreront, ceux qui veulent un jeu où l’on tape du monstre sans réfléchir détesteront !
Les règles ne sont au final pas si simples, mais sont rendues très accessibles par un système extrêmement bien conçu de tutorial et de fiches à lire au fur et à mesure des parties.
Autre point notable, chaque personnage est présent dans une version masculine et féminine, et si on retrouve les stérérotypes habituels de « races » de l’univers (nains, magiciens, guerriers, etc), le genre des personnages est visible sans être stéréotypé. Il y a un réel effort de l’auteur (qui est aussi l’illustrateur !) de vouloir ne pas tomber dans le cliché facile.
Du point de vue de la coopération, il y a de tout : de l’entraide (combat de monstres à plusieurs), du partage de ressources (or, objets), la nécessité de mettre en place une stratégie commune. Assez peu de place est laissée à l’individualité, car il sera nécesasire de se partager les tâches pour gagner. Un joueur faisant seulement ce qui lui plaît sans concertation risque donc fortement de mettre en péril la réussite des joueurs.
Prenez le si vous aimez :
* trouver la stratégie optimale pour gagner
* écouter des histoires
* des personnages genrés mais pas stéréotypés
Évitez le si vous n’aimez pas :
* être contraint dans vos actions pour pouvoir gagner
* ne pas pouvoir tuer tous les monstres
Nicolas Bestard –
Bien qu’ancien déjà, ce jeu continue à me captiver en proposant une aventure stratégique de médiéval-fantastique. J’apprécie le concept narratif du jeu, les rebondissements liés aux cartes évènements aléatoires, la difficulté croissante et la richesse de l’univers, avec sa trilogie et ses extensions qui font de ce jeu un monde ludique immersif.
Ronan –
le meilleur jeu auquel je n’ai jamais joué