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Dans Pandemic – Le Règne de Cthulhu, unissons nos force pour combattre les adorateurs des “Grands anciens” et autres créatures terrifiantes
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Ces jeux coopératifs nécessitent de cibler les priorités, mettre en œuvre un plan d’action dans lequel l’initiative de chacun-e fait avancer le groupe.
Mais attention, à ne pas laisser toute la place aux joueurs les plus expérimentés. Pour vivre des relations solidaires et non pyramidales, la stratégie est à construire ensemble. Un jeu coopératif dans lequel un leader dicte les faits et gestes des autres joueurs perd de sa cohérence, de sa profondeur et richesse relationnelle et enlève le plaisir du jeu aux joueur-euse-s les plus néophytes.
Rappelons que le plaisir du jeu est entre autre lié à son issue incertaine. Si je suis sur-e de gagner ou de perdre, je perd l’envie de jouer. Aucune raison donc de vouloir gagner à tout prix en se faisant despote ! Acceptons plutôt l’incertitude et le fait que de nouveaux joueurs renouvellent nos modes de jeux et nos expériences communes.
Parviendrons nous à mettre la relation en avant, à laisser place aux initiatives de chacun-e, quitte à ne pas gagner du premier coup. Car le plaisir d’être ensemble prime sur l’issue de la partie, non ?
Face aux jeux nous ne sommes pas toujours égaux mais chacun-e peut cependant participer de la victoire commune. Quitte parfois, à accepter les essais et erreurs, voire les défaites communes. De l’échec naît la compréhension des mécanismes de jeux. C’est bien l’adversité qui nous pousse à remettre en question nos choix, stratégies et donc à évoluer !
La coopération est un mode d’organisation, qui engage bien au delà du support que nous plaçons entre nous. Tout comme la démocratie, la coopération ne se décrète pas. Mais elle s’acquière par l’expérience et nécessite une bonne dose de confiance.
Vous aimerez les gros jeux tels que : Robinson, This War Of Mine, Les Demeures de l’épouvante, Les Contrées de l’Horreur
Si vous avez moins de 2 à 3 heures devant vous optez pour : WarHammer Quest, Big Book of Madness, TIME stories, Ghost Busters , , Thunderbirds, Opération Archéo, Rising 5, Andor, Andor les dernier espoir, Pandemic, Pandemic Chtulu, Pandemic Montée des Eaux, Pandemic Legacy, Pandemic La Chute de Rome
Ou préférez des jeux encore plus courts tels que Les Taxis de la Marne, ou plus enfantins et familiaux tels que Le Désert Interdit, Le Ciel Interdit et l‘ïle interdite
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giga –
Un « remake » d’un jeu coopératif très célèbre (le plus célèbre ?), avec un thème re-visité et des mécaniques un peu modifiées.
Ce commentaire s’attardera surtout à la différence entre les deux, et les commentaires sur Pandemic s’appliquent en grande partie à cette version.
La majeure différence est évidemment le thème, et c’est à mon avis sur ce critère que l’on doit se baser si on hésite entre les deux. Préfère-t-on tuer des monstres et sceller des portails vers d’autres mondes, ou bien soigner des gens et chercher des remèdes à des maladies ?
Le plateau sur cette version est moins grand, et les déplacements sont donc plus faciles. De plus, les lieux correspondent à quatre villes, alors que dans le jeu original, l’histoire se déroule sur la planète entière avec de très nombreuses ville. L’atmosphère de la version Cthulhu est plus confinée, plus intime, alors que la version originale donne vraiment l’impression d’aller aux quatre coins du globe.
Les échanges de cartes sont aussi grandement facilités et donc beaucoup plus fréquents, ce qui permet un peu plus d’entraide directe.
Cette version sera un peu moins frustrante pour certains, car on passe moins de temps à se déplacer (ce qui peut donner l’impression de ne rien faire).
Les mécaniques semblent un peu plus immersives : le plateau se remplit toujours de figurines qui tendent vers une fin inexorable, et l’ajout de grand anciens, des « méchants » qui apparaissent au fur et à mesure de la partie permettent de mieux développer l’impression de vivre une histoire. La pioche automatique des cartes semblent un peu moins abstraite, car elles représentes les indices sur la manière de fermer le portail que les joueurs obtiennent au cours de leurs actions.
Prenez le si vous aimez :
* les jeux aux règles accessibles
* réfléchir ensemble pour mettre au point une stratégie commune
Évitez le si vous n’aimez pas :
* des mécaniques un peu abstraites
* que la victoire dépende en bonne partie de la chance
Chloé di Cintio –
Avec Pandemic – Le règne de Cthulhu, retrouvons Lovecraft entre amis ou en famille avec les mécanismes du jeu original Pandémie. Mais ici au lieu de combattre des virus, nous essayons d’éradiquer ensemble le monde des cultistes et empêcher la venue de Cthulhu, en fermant les portails des 4 villes du plateau, sans quoi le monde bascule dans la folie.
Le thème lovecraftien est bien ancré et illustré, et avec de jolies figurines de cultistes et Shoggoth, et un dé spécial de santé mentale.
Nous sommes toujours confrontés à chaque tour à une situation d’urgence comme pour le jeu d’origine, il faut absolument supprimer les cultistes, sinon…
La variété des boss de fin apporte de la diversité et de la difficulté, la mécanique de jeu est moins rodée et propose un peu plus d’imprévus que dans Pandemic, si bien que le jeu peut devenir assez punitif et nous infliger de sévères défaites !
Prenez-le si vous aimez :
– les jeux coopératifs prenants et immersifs
– un temps de jeu pas trop long, soit une heure pour une première partie,
– les mécaniques simples et accessibles
Ne le prenez pas si vous n’aimez pas :
– les jeux où l’on perd souvent
– un niveau de difficulté légèrement supérieur à celui de Pandemic.
– les tentacules et Lovecraft